14 mars 2006
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La Hulotte: le journal le plus lu des terriers.
Une petite note sur un magazine assez confidentiel mais d'un contenu riche et agréable.
n'est pas vendue en kiosque, mais uniquement par abonnement.
Au rythme d'un numero environ par semestre, au prix de 20 euros pour 6 numéros,ce magazine n'est pas en vente en kiosque, il faut s'abonner et on fait ainsi partie du club des CPN (connaître et protéger la nature).
Avec son style attachant, l'un irrégulomadaire qui paraît quand il est prêt traite en profondeur un sujet proposé sans oublier sa particulière pointe d'humour qui surprendra avec bonheur plus d'une fois.
La Hulotte a été créée au début des années 70 comme journal de classe dans une école des Ardennes françaises, sous la tutelle de l'instituteur: Pierre Deom qui, face au succès des premiers nuémros, décida d'en élargir la diffusion
Aujourd'hui la revue a plus de 150 000 abonnés en France et à l'étranger
"Mon but n’est pas de donner des histoires d’animaux à consommer sur un fauteuil mais de pousser les lecteurs à sortir voir ceux dont on parle", explique Pierre Déom à l’AFP "alors je parle à fois d’animaux qu’on connaît bien, comme le hérisson, mais dont on ne sait pas comment ils vivent, et d’animaux qu’on ne soupçonnait pas près de chez nous, comme le sphynx-colibri" (thème du numéro du printemps 2005).
Une petite note sur un magazine assez confidentiel mais d'un contenu riche et agréable.
n'est pas vendue en kiosque, mais uniquement par abonnement.
Au rythme d'un numero environ par semestre, au prix de 20 euros pour 6 numéros,ce magazine n'est pas en vente en kiosque, il faut s'abonner et on fait ainsi partie du club des CPN (connaître et protéger la nature).
Avec son style attachant, l'un irrégulomadaire qui paraît quand il est prêt traite en profondeur un sujet proposé sans oublier sa particulière pointe d'humour qui surprendra avec bonheur plus d'une fois.
La Hulotte a été créée au début des années 70 comme journal de classe dans une école des Ardennes françaises, sous la tutelle de l'instituteur: Pierre Deom qui, face au succès des premiers nuémros, décida d'en élargir la diffusion
Aujourd'hui la revue a plus de 150 000 abonnés en France et à l'étranger
"Mon but n’est pas de donner des histoires d’animaux à consommer sur un fauteuil mais de pousser les lecteurs à sortir voir ceux dont on parle", explique Pierre Déom à l’AFP "alors je parle à fois d’animaux qu’on connaît bien, comme le hérisson, mais dont on ne sait pas comment ils vivent, et d’animaux qu’on ne soupçonnait pas près de chez nous, comme le sphynx-colibri" (thème du numéro du printemps 2005).